Polymere
Lola Rudrauf
2022

Realisation
chorégraphie

Polymère est un court-métrage tourné au sein l’abbaye de Royaumont, en France.
La chorégraphie met en scène plusieurs entités qui finissent par ne faire qu’un. Entre tensions et énergies contraires, ces corps s’apprivoisent et s’expriment de manière viscérale. Tout commence par un duo qui évolue en symétrie, pour finalement s’attirer et entrer en contact par un baiser. S’engage alors un corps à corps sensitif auquel vient s’ajouter un troisième acteur et ainsi former un trio plus animal et brutal. Les danseurs jouent avec l’espace dans des mouvements au bord du déséquilibre pour finalement terminer par un unisson amorçant l’entrée en scène d’un quatrième corps. Cette présence vient guider le trio et les enveloppe. Les corps se touchent, fusionnent jusqu’à se figer en un tableau vivant.

Dans ce projet, la caméra devient le témoin d’une alchimie des corps en ébullition. Elle accompagne les danseurs dans leurs mouvements ininterrompus, ne se figeant qu’à la toute fin. Le choix a été fait de jouer avec la symétrie des lieux et des plans pour finir par la déstructurer et ainsi se défaire de toute contrainte architecturale.

La musique électronique, composée pour ce film, exploite un processus d’ondes qui traversent les gestes des danseurs et leurs mouvements intérieurs.
Les interprètes sont habillés par des créations en collant épousant leur corps comme une seconde peau. Les chairs sont visibles, omniprésentes et finissent par fusionner.

photos : Emma Boudon

interprètes : Clarisse Mialet, Andréa Moufounda, Gaetan Vermeulen
styliste : Elodie Lou
maquillage : Luna Betsch
coiffure : Charline Le Sauce
1st AD : Emma Le Goff

00:00
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Realisation
chorégraphie

Polymère est un court-métrage tourné au sein l’abbaye de Royaumont, en France.
La chorégraphie met en scène plusieurs entités qui finissent par ne faire qu’un. Entre tensions et énergies contraires, ces corps s’apprivoisent et s’expriment de manière viscérale. Tout commence par un duo qui évolue en symétrie, pour finalement s’attirer et entrer en contact par un baiser. S’engage alors un corps à corps sensitif auquel vient s’ajouter un troisième acteur et ainsi former un trio plus animal et brutal. Les danseurs jouent avec l’espace dans des mouvements au bord du déséquilibre pour finalement terminer par un unisson amorçant l’entrée en scène d’un quatrième corps. Cette présence vient guider le trio et les enveloppe. Les corps se touchent, fusionnent jusqu’à se figer en un tableau vivant.

Dans ce projet, la caméra devient le témoin d’une alchimie des corps en ébullition. Elle accompagne les danseurs dans leurs mouvements ininterrompus, ne se figeant qu’à la toute fin. Le choix a été fait de jouer avec la symétrie des lieux et des plans pour finir par la déstructurer et ainsi se défaire de toute contrainte architecturale.

La musique électronique, composée pour ce film, exploite un processus d’ondes qui traversent les gestes des danseurs et leurs mouvements intérieurs.
Les interprètes sont habillés par des créations en collant épousant leur corps comme une seconde peau. Les chairs sont visibles, omniprésentes et finissent par fusionner.

photos : Emma Boudon

interprètes : Clarisse Mialet, Andréa Moufounda, Gaetan Vermeulen
styliste : Elodie Lou
maquillage : Luna Betsch
coiffure : Charline Le Sauce
1st AD : Emma Le Goff