réalisation
chorégraphie
In Carne a été projetté lors de l’exposition Le.s Corps de Gloria collectif au Coco Velten à Marseille.
Cette performance dansée met en scène deux entités qui explorent, expriment, racontent le lien qui les unit et les fait exister. Iels se cherchent, s’éloignent, s’apprivoisent, se rejettent et se soutiennent, laissant une trace de cette rencontre viscérale. Leurs corps, loin de n’être que de simples objets esthétiques, s’affirment en tant qu’entités sensitives palpables.
Noyée dans une tension au bord du déséquilibre, cette écriture chorégraphique tente de rapprivoiser le contact humain. Par un retour à l’animalité et à des mouvements instinctifs, les interprètes se reconnectent à leur corps et permettent de penser ce dernier comme terrain d’engagement. Un engagement qui joue avec les codes sociaux établis pour mieux les abolir.
Le dernier plan offre au spectateur un tableau des vestiges de ce face à face. L’écriture de cette danse est encrée en notation sur les corps et partitions qui les accompagnent comme trace de leur combat. Cette notation s’inscrit dans le système Benesh qui transcrit le geste par des dessins minimalistes, à la manière d’une partition de musique. Les perceptions sensorielles sont alors rendues visibles par la matière, au milieu d’un chaos corporel. Les interprètes deviennent vecteur de sensations et d’une trace qui transforme l’éphémère en héritage.
Chorégraphie et réalisation : Lola Rudrauf
Musique : Benjamin Bailly
Interprètes : Hava Hudry et Océane Delbrel
Chef op : Maxime Gaudet
Stylisme : Arnaud Chartouni
Photo : Emma Boudon
Maquillage et coiffure : Chloé Talleux
Assistante à la mise en scène/production : Emma Le Goff
Etallonage : Vinh Long Tran
Graphisme : Pierre Larrat
réalisation
chorégraphie
In Carne a été projetté lors de l’exposition Le.s Corps de Gloria collectif au Coco Velten à Marseille.
Cette performance dansée met en scène deux entités qui explorent, expriment, racontent le lien qui les unit et les fait exister. Iels se cherchent, s’éloignent, s’apprivoisent, se rejettent et se soutiennent, laissant une trace de cette rencontre viscérale. Leurs corps, loin de n’être que de simples objets esthétiques, s’affirment en tant qu’entités sensitives palpables.
Noyée dans une tension au bord du déséquilibre, cette écriture chorégraphique tente de rapprivoiser le contact humain. Par un retour à l’animalité et à des mouvements instinctifs, les interprètes se reconnectent à leur corps et permettent de penser ce dernier comme terrain d’engagement. Un engagement qui joue avec les codes sociaux établis pour mieux les abolir.
Le dernier plan offre au spectateur un tableau des vestiges de ce face à face. L’écriture de cette danse est encrée en notation sur les corps et partitions qui les accompagnent comme trace de leur combat. Cette notation s’inscrit dans le système Benesh qui transcrit le geste par des dessins minimalistes, à la manière d’une partition de musique. Les perceptions sensorielles sont alors rendues visibles par la matière, au milieu d’un chaos corporel. Les interprètes deviennent vecteur de sensations et d’une trace qui transforme l’éphémère en héritage.
Chorégraphie et réalisation : Lola Rudrauf
Musique : Benjamin Bailly
Interprètes : Hava Hudry et Océane Delbrel
Chef op : Maxime Gaudet
Stylisme : Arnaud Chartouni
Photo : Emma Boudon
Maquillage et coiffure : Chloé Talleux
Assistante à la mise en scène/production : Emma Le Goff
Etallonage : Vinh Long Tran
Graphisme : Pierre Larrat